Madeleine Bernard - La Songeuse de l'invisible

Marie-Hélène Prouteau
couverture
Cette jeune fille de dix-sept ans pleine de charme que peint un Gauguin amoureux, c’est Madeleine Bernard. Elle n’est pas un  modèle comme les autres. En cet été 1888, la jeune fille est la muse de Pont-Aven. D’autres l’ont peinte, dont Émile Bernard, son frère. Née à Lille en 1871, Madeleine est d’une grande beauté et d’une vive intelligence. Elle voit naître sous ses yeux la formidable aventure de l’art post-impressionniste. Sur les bords de Seine à Asnières, à Saint-Briac, à Montmartre, elle est présente, sans être artiste elle-même ; rencontre Odilon Redon, Van Gogh, grand ami de son frère. Elle s’intéresse à la peinture. Mais aussi à la théosophie, aux spiritualités orientales. Entre ce frère rebelle si doué et une mère tyrannique, il lui faut trouver sa place de femme. Elle aspire à la liberté, choisit de travailler. Supporte mal ce milieu superficiel des ateliers de couture. Au fond, c’est une âme mystique, tendue vers l’invisible. Qui est Madeleine qui mourra à vingt-quatre ans ? Cette jeune femme qui ose poser une rupture radicale avec sa vie d’avant en s’enfuyant à Genève loin des siens ? Sa vie y prendra un tournant romanesque en croisant celle de la jeune Isabelle Eberhardt et de son frère.

Marie-Hélène Prouteau, qui a eu accès à une correspondance abondante, a tenté de cerner cette personnalité remarquable, complexe, attachante dans ses contradictions.
La presse en parle
Littérature d'Irlande, de Bretagne et d’ailleurs - 26 août 2022
« Parmi les personnages de ce livre, beaucoup sont célèbres, pour ne pas dire très célèbres.Des « rapins » rencontrés en particulier à Pont Aven, qui ne le resteront pas, Gauguin qui sera amoureux d’elle. Madeleine Bernard rencontrera par l’intermédiaire de son frère qui était un de ses amis, Vincent Van Gogh. Et bien d’autres comme Odilon Redon. » - Yvon Bouëtté
Bretagne Magazine
« Madeleine.B. "Une muse dans l'ombre des génies". Une biographie consacrée à Madeleine Bernard raconte la fascinante destinée de celle qui vécut dans l'ombre de Paul Gauguin et de son frère, le peintre Emile Bernard. » - La rédaction
Terres de femmes - 22 août 2021
« Madeleine veut oublier l’atelier où elle est enfermée tout le jour, le salon d’essayage, les bourgeoises à chapeau. Elle vagabonde ailleurs, loin de ce monde du clinquant qui ne jure que par l’ornement et l’artifice. Loin des vanités dont « la société tristement matérialiste » est si friande. Pour Madeleine, seule compte « la vie intérieure ». » - Angèle Paoli
La Provence - 18 août 2021
« Marie-Hélène Prouteau a voulu redonner vie à cette jeune femme morte à 24 ans, peinte par Gauguin dans le splendide portrait du musée de Grenoble (en couverture du livre, NDLR). Nourrie de spiritualité mystique, sa courte existence nous emmène de Pont-Aven à Asnières, aux maisons de couture à Paris, en passant par Nottingham et jusqu’à Genève. » - Alexandre Nabokoff
La Cause littéraire - 17 juin 2021
« L'écriture vive en petites scènes et phrases économes retient l'attention du lecteur qui en apprend beaucoup sur ces années 1880-1890, en matière de musique, d'intérêt culturel, de plastique picturale en général. On reconnaît là le style de l'auteure, descriptif, aéré, simple et prenant. Les mots entourent avec affection la petite Madeleine. » - Philippe Leuckx
La Cause littéraire - 17 juin 2021
« L'histoire de Madeleine nous émeut. L'ombre légère qu'elle a été s'est insinuée en nous, fortement, et ce, grâce au talent sûr, léger et sensible de l'auteure. Une riche bibliographie montre à l'envi combien la romancière s'est bien documentée pour nous offrir ce destin singulier, cette « ombre » négligée de l'histoire de l'art.Un très beau livre. » - Philippe Leuckx
Recours au poème - 6 juin 2021
« Cette biographie met dans la lumière une femme qui a contribué à la genèse d’une œuvre, une femme qui a su fasciner des peintres comme Gauguin, une femme qui a su s’émanciper. Des eaux flamandes aux rives de l’Orient, en tous ces lieux vibre l’invisible par la force d’une écriture poétique […] « la poésie anime la peinture autant que le verbe ». » - Ghislaine Lejard
Spered Gouez L'Esprit sauvage,numéro 28
« Marie-Hélène Prouteau avec empathie et talent restitue sa personnalité secrète et originale.Pour cette remarquable et passionnante biographie qu'on pourrait qualifier d'"essai poétique" par la qualité de l'écriture, l'auteure a réalisé un travail de documentation et de recherches rigoureux et impressionnant, puisant à toutes les sources disponibles » - Marie-Josée Christien
Diérèse - printemps 2022
« Marie-Hélène Prouteau s'est évertuée avec talent, par de petits tableaux successifs, à déchiffrer, peindre, et mettre en lumière le destin d'une femme qui aurait pu rester le "double méconnu". Un parcours de vie offert à l'autre, sans lequel il n'est pas de joie. Un livre inattendue, bouleversant. » - Jean-Pierre Boulic
Bretagne-Île de France
« Un portrait sensible de cette jeune fille ... Des paysages du Nord où elle est née à la région parisienne où son père viendra travailler, à Courbevoie et Asnières, elle va suivre son frère, partir à la découverte de la Bretagne où les peintres d'alors vont chercher une sorte d'exotisme. Biographie, occasion de belles évocations de paysages bretons. » - Gabriel Delahaye
Europe - 10 novembre 2021
« Observant ce portrait de Madeleine Bernard par Gauguin, je l'ai associé avec celui de G.de La Tour, la "Madeleine à la veilleuse", deux postures similaires, tête pensive posée sur la main, pourtant à l'opposé...Mais ces deux oeuvres entrent en dialogue, chacune donnant forme à une méditation sur la durée, le corps féminin, l'amour et la mort. » - Marie Alloy
Haute-Provence Infos - 14 octobre 2021
« Amour, amitié, passion. Le récit commence par une interrogation sur une femme dont on ne sait rien mais qui a influencé l'Art Nouveau ... Un récit haletant qui se lit comme un roman. » - Jean Banner
Spered Gouez - n° 27 octobre 2021
« Le cheminement intérieur d'un être épris d'absolu cherchant sa voie dans la poésie, la musique, les livres saints, le bouddhisme. Le motif récurrent de la rivière blanche, telle une musique de l'âme, est choisi pour faire signe. Au verso du portrait de Gauguin, l'Aven éblouissant devient l'image de l'identité secrète, la "songeuse de l'invisible". » - Jacqueline Saint-Jean
Terre à ciel
« La petite plage, « clairière des métamorphoses », lisait-on dans un livre précédent qui se présentait comme l’ « autobiographie d’un lieu » selon le mot d’Erri de Luca (La Petite plage, La Part commune, 2015). Cette biographie littéraire consacre d’autres lieux magiques : le Bois d’amour à Pont-Aven par Emile Bernard dans une prose souvent poétique » - Isabelle Lévesque
L'Oeil, numéro d'été.
« Pour peindre ainsi, il faut aimer. Et Gauguin a aimé Madeleine Bernard. Sur le splendide tableau du Musée de Grenoble la jeune sœur du peintre Emile Bernard l’observe de biais avec un œil auréolé de vert et cerné de mystère…avec un buste droit qui est celui des intrépides et des opiniâtres.Tout est dit -la beauté, l’indépendance et la spiritualité. » - Colin Lemoine
L'Oeil, numéro d'été.
« Dans une langue fluide sans être serpentine M-H.Prouteau excède le genre biographique pour écrire un tombeau. La « songeuse de l’invisible » est rendue à la vie puis à la mort. L’écrivain fouille 24 années de cette « âme mystique » qui …joua à disparaître pour réapparaître afin de mieux mourir emportée au Caire par la tuberculose. Magistral. » - Colin Lemoine
Le Télégramme - dimanche 6 juin 2021
« Marie-Hélène Prouteau laisse courir son imagination pour tenter de cerner les joies, les tourments de son héroïne. Une méditation sur l’intimité d’une "femme incandescente" […] Une plongée dans ce monde d’artistes baptisés post-impressionnistes au sein desquels Emile Bernard aura une forte influence. » - Jean Bothorel
La Voix du Nord 27 mai 2021
« L’incroyable destin d’une Lilloise dans l’ombre de Van Gogh et Gauguin. Née à Lille en 1871 M.B sœur du peintre lillois Emile Bernard -œuvres les plus connues La Piscine Roubaix et Orsay- a vécu une courte mais intense existence entre Paris, Pont-Aven et Le Caire où la tuberculose la faucha. MHP révèle ce destin hors du commun dans un beau livre. » - Frédéric Lecluyse
Blog Voyagessence, 11 mai 2021
« “Se souvenir des belles choses” : en découvrant la vie de M.B, le titre de ce film s’est imposé. Parce que le livre attire puissamment le regard vers le beau, quête infinie […]L’attention fiévreuse de Madeleine aux belles choses invisibles s’exprime de manière vibrante à travers les mots de MHP dont la voix se glisse subtilement dans les siens. » - Rémy Gourdon
Blog de Marie-Christine Biet, journaliste - 6 mai 2021
« Trois personnes ont infléchi ce destin tranquille : son frère Émile, son amie Charlotte et le vague fiancé Augustin de Moerder, le frère d’Isabelle Eberhardt rencontrée lors de son exil à Genève. Il est à noter que dans les trois cas, la forme d’amour reste ambigüe. L’intérêt de l’ouvrage est d’avoir rendu visible cette « songeuse de l’invisible ». » - Marie-Christine Biet
Ouest-France, édition du Finistère - 2 mai 2021
« MHP s’est nourrie de tableaux pour dépeindre la jeune femme et son univers. Son livre donne tellement à voir qu’on aimerait un jour voir une Madeleine Bernard portée à l’écran, petit ou grand. Grâce à la plume de l’auteure, à son érudition (plaisante, surtout pas assommante) Madeleine demeure songeuse. Mais elle n’est plus invisible à nos yeux. » - Jean-Marc Pinson
Revue "Recours au poème"n°208 - mai-juin 2021
« Cette biographie met dans la lumière une femme qui a contribué à la genèse d’une œuvre, une femme qui a su fasciner des peintres comme Gauguin, une femme qui a su s’émanciper. Des eaux flamandes aux rives de l’Orient, en tous ces lieux vibre l’invisible. Par la force d’une écriture poétique, MHP donne à voir que « la poésie anime la peinture » » - Ghislaine Lejard
RCF Bretagne Sud, "Entre les lignes"émission du 27 avril 2021
« Si la rivière blanche [tableau de l’Aven par Gauguin] coule dans ce récit, le petit livre bleu des poèmes de Marceline Desbordes-Valmore n’est pas moins présent. Cette biographie se lit comme un roman. Un roman qui se déroule dans le milieu post- impressionniste avec Gauguin, Van Gogh...Emile Bernard, son frère qu’elle soutient de tout son amour. » - Marie Thé Bretel-Logan
Le Monde des Livres - vendredi 23 avril 2021
« Annonce de parution dans la rubrique "Biographies" »
Unidivers.fr - 21 avril 2021
« Madeleine et, à côté, Émile. Ils sont deux, ils sont un, ils le seront toujours. Leurs vies s’ajoutent. Il dessine, ils se parlent, il peint, ils ne cesseront jamais de se parler, de s’écrire. De se protéger, de s’aimer. Lui impétueux et tourmenté, de cette impatience qui ne lâche ni le corps ni l’esprit. Elle, mélancolique, admirative, complice. » - Jean-Louis Coatrieux
Unidivers.fr - 21 avril 2021
« Il fallait la délicatesse de MH.Prouteau. Ses mots, ses phrases sont une petite musique que nous trouvons aussi dans ses autres ouvrages… Cette tendresse, cette complicité qu’elle tisse entre elles deux, au point de faire de sa vie un paysage d’aquarelles et de pastels. Magie de l’écriture et de la mémoire, mystère de la peinture et de la lumière. » - Jean-Louis Coatrieux
Nonfiction - 20 avril 2021
« L'écriture se fait épitaphe, offre une déambulation littéraire et picturale dans le temps retrouvé de l’Ecole de Pont Aven, tente de se rapprocher au plus près de Madeleine, de jouer des correspondances avec les peintures de son frère Emile Bernard et de l’Ecole de P.A ... de se mettre à l’écoute de ce « témoin de plein cœur d’un moment de l’art". » - Maryse Emel
Nonfiction - 20 avril 2021
« « La Rivière blanche » ne cesse de traverser le texte. Sur l’envers de son tableau, Gauguin peindra la jeune femme, rendant tout à la fois manifeste et secrète cette traversée amoureuse de l’art en elle. La rivière circule aussi dans le texte de MHP. Elle ne cesse de se métamorphoser […] se donne à voir d’abord comme le canal-souvenir de l’enfance. » - Maryse Emel
Monde en poésie - 17 avril 2021
« La vie de Madeleine n’est pas figée dans cette Cornouaille bohême. Elle est d’abord faite d’allées et venues entre sa famille originaire de Lille mais installée à Asnières et divers lieux […]La voici aux bains de mer au Crotoy en 1889, « la mer ici ne vaut pas celle de la Bretagne », écrit-elle, puis en 1891, à Saint-Briac, « le pays est superbe ». » - Pierre Tanguy
Le dire et l'écrire - 15 avril 2021
« On sent que la biographe s’est nourrie de cette peinture, de cette attirance des artistes pour la couleur qu’elle sait élégamment rendre dans ses descriptions. On est tenté de feuilleter parallèlement à la lecture un catalogue des Postimpressionnistes, ou Synthétistes dont Emile Bernard est la tête de file...et peint comme Seurat les bords de Seine » - Véronique Leroux-Hugon
Bretagne actuelle - 12 avril 2021
« Cette « jeune femme incandescente » morte à 24 ans fut à la fois muse, modèle et confidente non seulement de son frère et aussi d’autres artistes de cette période de l’histoire de l’art. Elle est très à l’aise dans la conversation avec ces peintres un peu fêlés,écrit l’auteure, qui peignent le sable des plages en vermillon et japonisent à tout va. » - Pierre Tanguy
Radio Alternantes - émission 'Bouquins en Bretagne' - 10 avril 2021
« Marie-Hélène Prouteau fait évoluer ses personnages, c’est son travail d’auteur, dans des paysages magnifiques, Pont-Aven, Saint-Briac. Elle se met dans la peau de cette jeune femme d’une grande modernité [….] Jusqu’à l'événement si important, la rupture totale avec sa mère qui lui reproche une supposée relation homosexuelle avec son amie Charlotte. » - Daniel Raphalen
revue Traversées - 10 avril 2021
« S’affirme dans cette biographie littéraire l’approche singulière de la subjectivité de Madeleine. À la lecture, l’on reconnait la langue, les images, l’univers sensible de MH.Prouteau. Madeleine a en commun avec elle de capter les événements minuscules qui appellent la contemplation, font vibrer les paysages, animant la prose poétique de l’auteure » - Corinne Welger-Barboza
Lire à Saint-Brieuc - 2 avril 2021
« Ce livre est un magnifique portrait de Madeleine Bernard, la soeur du peintre post-impressionniste Emile Bernard. Dans cette biographie littéraire extrêmement documentée, précise et finement écrite, le lecteur suit la brève trajectoire de cette personnalité hors du commun, indépendante et spirituellement très exigeante… Héroïne au destin tragique. »
Exigence : Littérature - 1er avril 2021
« À la fois documenté et romancé ce travail donne de la chair à l’art, comme le regard de Madeleine fait revivre "Petit garçon au chapeau le fils du marin" qu’elle allait voir dans l’atelier d’Emile[…] imaginer la soif d’autre chose qui les animait, "Haro sur la société industrielle tristement matérialiste, leur credo à tous les deux" écrit l’auteure » - Pierre-Vincent Guitard
Blog Les Découvreurs - 30 mars 2021
« Madeleine Bernard n’est pas seulement un être qui semble « née pour rayonner par sa beauté et son esprit », elle est aussi une de ces âmes dévouées, « servantes au grand cœur », qui ont besoin d’un idéal à servir, quitte à rester dans l’ombre, s’attachant à l’œuvre de ce frère artiste qui échangeait ses tableaux avec les plus grands,dont Van Gogh » - Georges Guillain
Blog "Histoire de l'art"- 28 mars 2021
« Anticonformiste, Madeleine l’est assurément. Madeleine étudie afin de pouvoir « travailler et avoir un état ». Madeleine écrit à son frère : « Accepte tout de moi. Je ne désire nullement me marier, je ne veux qu’une chose, c’est me rendre indépendante afin de t’aider. » Madeleine, muse moderne d’une peinture avant-gardiste qui bouleverse le regard. » - Jacqueline Duroc, historienne de l'art
Camus Diffusion - 15 mars 2021
« Nous sommes plongés dans cet univers sensible et innovant de la peinture [...]. Nous rencontrons ainsi des peintres célèbres maintenant tels que Gauguin, Pissaro, Seurat, Van Gogh, Toulouse-Lautrec, Signac, Cézanne... [...] Cette biographie passionnante, au style lumineux et alerte, emporte le lecteur dans le tourbillon de ce XIXè finissant » - Hélène Camus
Presse-Océan - 11 mars 2021
« « Muse et mystérieuse ». Dans La Songeuse de l’invisible, l’auteure dresse la biographie littéraire du modèle des artistes de l’Ecole de Pont-Aven […] Avant de mourir à 24 ans au Caire, cette jeune fille aura eu le temps de rompre avec sa famille, de voyager, de se passionner pour la théosophie et de fasciner Gauguin, Emile Bernard… » - Franck Redois
"À la littérature"- 7 mars 2021
« Marie-Hélène Prouteau a de la matière. Lettres de Madeleine à Émile Bernard, à ses parents, à sa grand-mère.Lettres à Madeleine d'Émile, de ses parents, de Paul Gauguin, de Charlotte Joliet. Poèmes de M. Desbordes-Valmore [...]Qu'est-ce que cela fait d'être mêlée de près à l'invention d'un mouvement pictural puis à une société cosmopolite à Genève » - Pierre Campion
"Désir de lire", Prendre le temps. 3 mars 2021.
« Dans cette biographie littéraire, MHP a cherché à retrouver la juvénilité de la voix de Madeleine Bernard. Celle de ses lettres qui sont, par moments, pure méditation. Glisser ses mots à elle et ceux d’Émile, à l’entame de chaque chapitre, tresser ceux de l’auteure à leur écoute, c’est tenter de saisir les harmoniques ténues d’une subjectivité. »
ArMen n°241- mars/avril 2021.
« Madeleine Bernard est devenue la muse de Pont-Aven cet été 1888. MHProuteau agrégée de lettres et auteure entre autres de " Le Coeur est une place forte" (2019, éditions La Part commune) s'attache ici, en s'appuyant sur la correspondance abondante de Madeleine à cerner une personnalité hors du commun, complexe et attachante dans ses contradictions. » - Patrick Tanguy
Breizh Femmes
« On parle ici de Pont-Aven.La Bretagne, la peinture, une femme. Trois bonnes raisons pour retrouver l’écrivaine au cœur de cette histoire. La biographie de Madeleine Bernard, morte de la tuberculose à seulement vingt-quatre ans, a fait partie de la vie durant de longues années de Marie-Hélène Prouteau passionnée de peinture autant que de littérature » - Geneviève Roy
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